Avant de donner la parole à M. Thierry Foucaud, je voudrais lui dire la peine et la tristesse que j’ai ressenties en apprenant le décès de notre éminent collègue Guy Fischer.
Guy Fischer et moi-même nous avons été en même temps, par le passé, vice-présidents de la Haute Assemblée. Cet homme d’une grande courtoisie, d’une grande gentillesse, d’une compétence totale, nous a quittés après avoir supporté de longues souffrances. Sachez, mon cher collègue, que je m’associe à votre chagrin.