Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, mes propos seront empreints d’une certaine solennité.
Je me sens exclu – j’espère que ce n’est qu’une impression ! – du groupe socialiste auquel je suis très attaché. En effet, mes chers collègues, comme la plupart d’entre vous, j’ai regardé, hier soir, la magnifique prestation du Président de la République.