Vous avez dit que les clubs professionnels devaient devenir propriétaires de leurs enceintes. À Bordeaux, la métropole s'est engagée dans un partenariat public-privé, aux termes duquel elle assumait les charges liées à la construction mais n'était pas concernée par les retombées notamment celles de droits de retransmission télévisée. Il me semble souhaitable d'adopter un plafond de 50 % de financement public ou même un financement totalement privé.
Faut-il, par ailleurs, établir un schéma d'équipement sportif dans chaque intercommunalité afin, par exemple, de prendre en charge certaines activités sportives comme la natation - beaucoup de piscines construites dans les années 1970 doivent être rénovées - tout en assurant un égal accès sur le territoire ?