… rappelant votre attachement à l’indépendance de la justice. Soit !
Toutefois, monsieur le Premier ministre, la question n’est pas là. Il s’agit non pas de l’affaire Bygmalion et de ses suites judiciaires, que nous attendons avec impatience, tout comme vous, mais des déclarations du secrétaire général de l’Élysée, l’un des plus importants rouages de l’État.
La question est bien de savoir quelle mouche a piqué M. Jouyet.
De deux choses l’une : soit il a commis une gaffe dans un moment d’égarement, prêtant à un ancien Premier ministre des propos que celui-ci a formellement démentis, version confirmée par la troisième personne assistant à ce fameux déjeuner