Nous savons que cela entraîne des économies – cela tombe sous le sens, des personnes vont se faire soigner plus tôt ! –, mais nous ne sommes pas capables de les chiffrer. Nous ne disposons pas des éléments nous permettant d’aboutir à des données consolidées en la matière.
Vous ouvrez là, madame la sénatrice, un débat passionnant, mais, je le répète, je ne suis pas certaine qu’un tel rapport soit du ressort de l’administration. Il s’agit plutôt d’un travail de chercheurs en santé publique, …