Je ne veux pas allonger le débat, parce qu’il nous reste de nombreux amendements à examiner.
Je comprends, madame la ministre, qu’il serait peut-être compliqué pour une administration de mener cette étude. Toutefois, des chercheurs, des économistes de la santé sont intéressés par cette question. Sollicitons-les, car le constat empirique s’impose, ainsi que vous l’avez souligné. Les médecins et les urgentistes l’affirment, les malades qui souffrent de pathologies très lourdes parce qu’ils n’ont pas été soignés coûtent très cher.