À ce stade de la discussion, même s’il n’y a pas eu beaucoup d’interventions de nos collègues de l’UMP, je me propose de reprendre un certain nombre d’entre elles, non pas pour y apporter des réponses, mais pour amorcer un dialogue, car c’est bien le but de notre présence ici.
Je m’adresserai d’abord à M. le rapporteur, qui a sorti de son chapeau ce qu’il souhaitait faire apparaître comme un scoop, à savoir que l’un des cent deux présidents de conseils généraux était favorable à la réforme…
C’est possible, mais il n’est pas habituel de faire état de conversations privées.