Monsieur le secrétaire d’État, je suis un peu déçu par la réponse qui vient de m’être communiquée. Vous me rappelez la préoccupation sanitaire prégnante dans le dossier du bisphénol A, mais sachez que, dès mon arrivée au Sénat, je fus au nombre des rares parlementaires à se préoccuper du sujet. Je mesure donc bien les enjeux de santé publique.
Ma question portait sur la situation de nos industries. Compte tenu du délai très court laissé à nos entreprises pour la mise en œuvre des dispositions de la loi, j’attendais surtout une réponse sur le moratoire et sur les solutions intermédiaires qu’il faut rapidement trouver afin de ne pas, une fois de plus, gêner nos industriels.
Je regrette que l’on ne s’oriente pas dans cette direction.