Monsieur le secrétaire d’État, je suis déçue par votre réponse.
L’aménagement des rythmes scolaires est difficile à mettre en place dans les zones rurales. Nous vérifierons si les dispositifs mobilisés en faveur de nos collectivités sont suffisants. On nous incite à solliciter les associations, mais il n’est tout de même pas évident d’impliquer des bénévoles dans une petite commune de 1 300 habitants comme la mienne…
En outre, l’aide apportée par la caisse d'allocations familiales ne peut pas excéder 54 euros, ce qui est insuffisant. De surcroît, elle est accordée seulement aux communes ayant prévu des activités périscolaires, et pas à celles, comme la mienne, qui n’ont pu mettre en place que des solutions élaborées de garde d’enfants.