Madame Procaccia, nous avons nous aussi discuté avec la CNAM et son directeur général. Or la réponse qui nous a été donnée n’est pas la même : il s’agit d’une relation conventionnelle, et cela se fera sans modification réglementaire ou législative. À l’instar de la procédure suivie pour la mutuelle de la police, cela se fera par convention, en toute transparence.
Oui, je me suis engagée, et je tiendrai ces engagements. J’ai conscience que l’agenda est serré, mais nous voulons absolument poursuivre la démarche engagée, à savoir préserver la spécificité d’une complémentaire étudiante et faire en sorte que le régime général soit géré de façon plus fluide. Tel est le sens des discussions et des débats que nous avons en ce moment.
Enfin, je ne peux résister à la tentation de dire à M. Ravier – auquel je ne répondrai pas sur le fond, car cela n’en vaut pas la peine – que le parti auquel il appartient compte également d’anciens administrateurs de la MNEF, et qu’il peut donc s’appuyer sur ces sources, certes quelque peu anciennes.