Abaisser de 1 milliard d’euros à 500 millions d’euros le seuil de capitalisation à partir duquel les actions d’une société cotée sont soumises à la taxe sur les transactions financières va à l’encontre de notre volonté d’aider les ETI à se développer sur les marchés boursiers.
En outre, une telle disposition contribuerait à rendre la place de Paris moins compétitive.
Dès lors, la commission ne peut être que défavorable à cet amendement.