Nous sommes là confrontés à une vraie difficulté. Il est choquant d’avoir été obligés, au milieu de l’année 2014, d’envoyer cette circulaire pour demander que les dossiers ne soient plus traités : ces opérations de réhabilitation présentent un réel intérêt, car, pour certaines familles, la facture énergétique pèse d’un poids énorme sur les ressources du foyer, et nous avons dit, par ailleurs, tout l’intérêt que ces opérations représentent pour l’économie locale de nos régions.
Nécessité faisant loi, il faut, me semble-t-il, rajouter ces 40 millions d’euros.
On ne peut toutefois pas parler de « cavalerie », car ce n’est pas de cavalerie budgétaire qu’il s’agit, mais de cavalerie de dossiers, si je puis dire. Ceux-ci se retrouvent en effet reportés d’une année sur l’autre, mais sans que les dépenses aient été engagées. Tout ce que nous souhaitons, c’est que ces dépenses soient effectivement engagées pour permettre la rénovation de ces logements.
Je voterai donc cet amendement et je vous appelle, les uns et les autres, à en faire autant.