Nous soutiendrons l’amendement du rapporteur général.
On peut comprendre les réactions d’un certain nombre de collègues, mais il faut regarder la réalité en face. Certains d’entre nous ont été sollicités par des membres de CCI. De fait, la question qui nous occupe est largement évoquée lors des assemblées générales, et les inquiétudes, tout à fait légitimes, qui sont exprimées, nous les retrouvons dans les courriers que nous recevons régulièrement et qui nous demandent d’intervenir, en tant que parlementaires, pour défendre ces chambres. Car elles ont vraiment l’impression de n’être pas comprises !
Pour nos entreprises, les CCI constituent un outil précieux. De plus, elles emploient du personnel. Comment, dès lors, ne pas comprendre les inquiétudes qui sont exprimées dans nos départements respectifs ?
Alors, oui, nous devons continuer à défendre nos compagnies consulaires !