C’est un problème. Il nous semble donc intéressant de revoir ce plafond pour que nous restions attractifs pour les producteurs étrangers et le redevenions pour les producteurs français. C’est de bonne méthode.
Monsieur le secrétaire d'État, nous attendons avec beaucoup de sérénité que vous fassiez les comptes et que vous nous les exposiez : peut-être confirmeront-ils notre raisonnement. Si j’ai bien compris les propos que vous avez tenus tout à l’heure, lorsque l’on se bat à la fois pour le rayonnement de la France et pour l’emploi, sans que cela déséquilibre les finances publiques, on va dans un sens qui vous agrée.