Et elles l’ont validé en sachant qu’elles pouvaient le financer, parce qu’elles avaient les fonds nécessaires. Mais si cette disponibilité financière leur est ôtée, comment vont-elles pouvoir exécuter ces plans, qui ont été signés ? Il ne s’agit pas de plans virtuels.
Je ne pense pas qu’il y ait des milliers de cas dans le pays, mais à certains endroits, des chambres consulaires ont fusionné. Il faut maintenant qu’elles puissent financer le plan qui a été soumis, approuvé et validé.