Nous avons donc redressé les comptes du CNDS avec un plan drastique, validé par tous et mené par Valérie Fourneyron, à qui je rends également hommage. Nous avons levé l’hypothèque du non-financement des stades de l’Euro 2016 grâce, et cela a été rappelé par de nombreux orateurs ce matin, à la prolongation de la ressource exceptionnelle Française des jeux à hauteur de 32 millions d'euros.
Il est clair, comme l’a montré le débat en commission, qu’il faut un nouvel acte de la réforme du CNDS en réinventant ses modes d’intervention. Je souhaite que cette réforme soit conduite autour de principes qui ont fait l’objet d’une concertation tout au long de ces dernières semaines, en amont du conseil d’administration du 19 novembre dernier, notamment avec les représentants du mouvement sportif et de l’ANDES.
Premier principe : refondre la politique de subventionnement du CNDS.
Je ne peux pas laisser penser, comme M. Kern l’a dit