Nous pourrions permuter les recommandations 1 et 2 pour définir d'abord la charte de bonne pratique et ensuite attribuer une reconnaissance à ceux qui la respecteront.
La nouvelle recommandation 1 (ancienne recommandation 2), ainsi modifiée est adoptée : « La délégation appelle à la mise en place d'une charte de bonne pratique pour les grandes enseignes de distribution de jouets et les grands groupes de fabricants, pour que les jouets soient la première initiation à l'égalité. »
La nouvelle recommandation 2 (ancienne recommandation 1), ainsi modifiée, est adoptée : « La délégation recommande l'attribution d'une reconnaissance aux fabricants et aux distributeurs qui mettent en oeuvre la charte de bonne pratique, tant dans leur méthode de fabrication que de présentation des articles de jouets. »
La recommandation 3 précise ce qu'il faut entendre par l'acception « name and shame », en indiquant qu'il s'agit de décerner l'équivalent d'un « carton rouge » ou d'un « prix citron » ; sa nouvelle rédaction est donc : « La délégation préconise l'institution d'un système de « name and shame » pour stigmatiser les pratiques contestables. »