Madame la présidente, madame la ministre, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, nous voici au troisième volet de la réforme territoriale : après la loi MAPAM sur les métropoles, après la loi sur les régions, nous sommes saisis du texte sans doute le plus important, celui qui traite des compétences. En effet, c’est finalement de lui que tout découlera pour la suite.
Madame la ministre, monsieur le secrétaire d’État, je vais vous faire une confidence : je n’aurais pas été candidat en septembre s’il n’y avait pas eu la réforme territoriale.