Mes chers collègues, si l’on veut que le Sénat soit à l’image de la société française, on doit pouvoir y exprimer la voix de la précarité, de ceux qui souffrent, de ceux qui sont licenciés, de ceux qui n’arrivent pas à boucler leurs fins de mois. La colère et la révolte grondent, et il faut en tenir compte.
Madame David, je vous dis bravo pour avoir relayé tous ces sentiments et défendu les laissés-pour-compte !
Quant à M. le ministre et M. Fourcade, ils ont brillamment exposé des arguments théoriques auxquels je voudrais répondre.
Monsieur le ministre, vous avez dit vouloir accroître la quantité individuelle de travail.