Cette discussion me donne l’occasion de rappeler que le coefficient d’intégration fiscale a deux impacts.
Il est vrai que certaines communautés de communes hésitent à transférer des compétences à des syndicats couvrant un territoire plus vaste.
D’un autre côté, avec les mariages forcés que vous allez organiser, vont se poser d’énormes problèmes pour des communautés de communes aujourd’hui extrêmement intégrées, affichant un coefficient d’intégration fiscale de 0, 6 ou 0, 7 : laquelle de ces communautés acceptera de bon cœur de se marier avec des voisins dont le CIF est beaucoup moins élevé ?
Ce critère ne me paraît pas suffisamment pris en compte dans la nouvelle carte de l’intercommunalité.