Cet amendement tend à prendre en compte les fratries. La question soulevée est réelle.
Il est évident que, lors de l’examen de la situation de l’enfant, son environnement doit être pris en considération. C’est, du reste, ce que prévoit la proposition de loi ! Ma chère collègue, votre amendement est, par là même, satisfait.
La question des fratries doit-elle figurer dans le présent texte ? On peut s’interroger.
En effet, certains enfants peuvent être victimes de frères et sœurs qui les agressent.