La demande d'édification de nouveaux lieux de culte musulmans concerne surtout les communes de plus de 5 000 habitants, soit 5,4 % des communes de France. Les élus sont partagés face à cette demande. Dans les communes de moins de 2 000 habitants, ils la considèrent comme hors-sujet et disent ne pas recevoir de sollicitation particulière, les lieux de culte existants dans les agglomérations voisines étant facilement accessibles.