D'après les élus, la question du financement est porteuse de conflits. Lorsqu'il s'agit de financer des interventions sur des lieux de culte et des équipements existants, majoritairement catholiques, il y a consensus parmi les administrés. Ce n'est plus le cas quand il s'agit d'implanter de nouveaux lieux de culte, notamment musulmans. Sur une échelle de 0 à 5, le niveau de conflictualité atteint alors 2,8 points, alors qu'il est à 1 pour les autres religions. La tendance se vérifie quand on parle du financement des lieux de culte musulmans.