Il a souvent été dit dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale que ce texte ouvrait la voie à une remise en cause de celui de 2005. C'est faux. Il fait simplement une photographie des avancées constatées à ce jour : elles sont insuffisantes. Catherine Procaccia, si certains ont dû se poser des questions très tôt sur les aménagements qu'ils devaient prévoir, ce sont bien les professionnels de santé. Du moins je l'espère...