Ce traité pose la question de savoir quelles sont les bonnes raisons de se munir d'armes et celles, très mauvaises, de s'en servir. Le soutien des pays d'Afrique à ce traité est une bonne nouvelle, car ils sont souvent victimes des trafics qui se développent sur leur continent, et qui facilitent l'activité de groupes rebelles - je pense à la Côte d'Ivoire de Laurent Gbagbo. La récupération et la destruction des armes, indispensables à la limitation des risques de renversement politique, sont-elles abordées par le TCA ?