Je me réjouis de la priorité donnée à l'Afrique. La semaine prochaine, notre groupe de travail publiera son rapport : L'Afrique est l'avenir de la France. Je vous félicite pour la conférence avec les acteurs du secteur privé et d'avoir invité les Brics à la conférence des créanciers souverains. Vous posez parfaitement le problème du déliement de l'aide. Si la France joue le jeu, les Brics conditionnent souvent la leur. Est-il possible de négocier dans les enceintes internationales ? Etablissons-nous des rapports de force ?