Je pense qu'il faut qu'il y ait une unicité. Sur le terrain, c'est le rôle des ambassadeurs. Il faut les reconnaître dans ce rôle-là. Il y a une volonté politique extrêmement forte. C'est une préoccupation partagée par l'ensemble des ministres, nous essayons à l'étranger de la coordonner.
J'en viens à l'Institut Français.