Je m’associe aux propos de Vincent Capo-Canellas. Naturellement, après les avis négatifs de la commission et du Gouvernement, je regrette de ne pas pouvoir voter cet amendement, même si j’en partage tout à fait la philosophie. Ce problème existe depuis longtemps et nous le subissons. Il n’y a plus de wagon isolé, le fret ferroviaire est sous-utilisé, alors que l’on prône partout le développement durable. En la matière, les discours sont très contradictoires.
Le combat désormais, c’est de reconquérir les usagers ; je n’aime pas le terme « client », même si, pour le fret, on peut y recourir. Cela relève de la responsabilité de chacun et d’une prise de conscience à tous les niveaux.