Hormis peut-être quelques cas isolés, dans les camps, lors de retards dans la distribution des repas, il n'y a pas de tensions avec les réfugiés. D'ailleurs, les Jordaniens et les habitants du sud de la Syrie, qui sont aujourd'hui réfugiés en Jordanie, ont l'habitude d'échanges, commerciaux ou autres, en bonne entente de voisinage. Les blâmes de la population jordanienne s'adressent à l'État jordanien, pas aux réfugiés, qui sont pour nous des frères que nous accueillons, comme tels, bien volontiers.