Si ces situations existent, elles sont marginales. Les enseignants-chercheurs, qui constituent l'essentiel de notre masse salariale, partent très tard à la retraite, vers 68, voire 69 ans. Cela explique que le GVT ait proportionnellement beaucoup plus augmenté dans les universités que dans les collectivités territoriales. La situation est différente à un autre titre : la moitié des promotions d'enseignants-chercheurs nous sont imposées, pour l'autre moitié, nous avons un quota de promotions qui n'a pas été compensé par l'État. Et, à la différence des collectivités territoriales, nous ne levons pas l'impôt.