Nous avons bien compris que la doctrine du ministère est de ne pas prendre en compte les évolutions de comportement des contribuables pour chiffrer le coût, ou le rendement, des mesures nouvelles, aux motifs que ces changements sont déjà intégrés au scénario macro-économique et qu'ils sont trop difficiles à estimer de façon isolée. Les modifications de comportement des contribuables sont-elles cependant analysées et prises en compte a posteriori ? Connaissez-vous des exemples de pays qui, au contraire, tiennent compte des évolutions des comportements des contribuables pour chiffrer le coût des mesures nouvelles ?