La commission reconnaît les difficultés particulières des territoires ruraux, qui doivent, bien entendu, être pris en compte. En revanche, prévoir que toutes les politiques publiques doivent « comporter obligatoirement un volet dédié aux territoires hyper-ruraux » me paraît quelque peu disproportionné.
Cela dit, cet article 2 n’est que déclaratif, et sur les cinq grands paragraphes qui le composent, deux traitent de questions assez éloignées du sujet initial… Je comprends donc notre collègue Alain Bertrand ait choisi cet article pour tenter d’introduire, une fois de plus, le sujet de l’hyper-ruralité. Nous y reviendrons d’ailleurs, car nous trouverons des appels de notre collègue sur le même sujet à quatre ou cinq reprises dans ce texte...