Je me demandais, à propos de la semaine 48, pourquoi « la bonne surprise » climatique s'était traduite, pour nos voisins, par un besoin supplémentaire d'importer notre électricité, comme s'ils n'avaient pas bénéficié eux aussi du « redoux » : vous m'avez apporté une partie de la réponse, en rappelant que désormais l'électricité s'achète sur le marché au meilleur prix.
Dans quelle mesure anticipez-vous, dans les équipements de réseau, la progression certaine des énergies alternatives, dont la géographie sera différente de celle des circuits de production traditionnels ?