Merci pour ces considérations qui réservent une part d'espoir.
Maître Monsellato, vous qui conseillez les entreprises, leur recommandez-vous une planification fiscale agressive ? Quelle est leur perception des taux d'imposition ? Est-il vrai que le taux facial soit psychologiquement plus important que le taux réel ? Les dirigeants d'entreprise sont des gens avisés, ils ont de bons conseils, sont capables de calculer, et de constater qu'un taux facial, avec des niches profondes, vaut peut-être mieux qu'une assiette extrêmement large, avec un taux plus limité... Comment jugez-vous les comportements des entreprises de ce point de vue, et quels sont donc les principaux déterminants fiscaux de leur politique de localisation ?