Les importations et les délocalisations participeraient ainsi au financement de notre sécurité sociale. J’ai maintes fois proposé ce système, sans succès. Peut-être le comprendra-t-on un jour ? Il y a des objections à tout, mais le pire serait de ne rien faire.
Il faut bien se rendre compte que la France est un pays difficile à réformer, trop habitué à l’assistance, aux aides en tous genres, accroché à ses avantages acquis.