… si on ne peut plus le financer. Il est certes très agréable de moins travailler, mais il faut savoir qu’un jour on risque de ne plus travailler du tout !
Toutes ces aides, mes chers collègues, obligent l’État à emprunter de plus en plus pour des dépenses de fonctionnement, ce qui est une hérésie financière. Les dépenses de fonctionnement ne permettent ni de payer les intérêts de la dette ni de rembourser le capital. Le trou s’agrandit chaque jour.