Vous nous avez indiqué que la position de Poutine, sur la Syrie, est une préférence pour Assad plutôt que pour les islamistes. Lors de son audition devant notre commission il y a quelques mois, votre ministre, M. Laurent Fabius, estimait, quant à lui, que l'attitude russe était liée à une volonté d'existence, de puissance sur la scène internationale de Vladimir Poutine, qui nécessitait donc d'aller à contre-courant. Qu'en pensez-vous ?
Ensuite, pouvez-vous faire le point sur la réforme des statuts de l'ONU, en particulier du Conseil de sécurité, et de la demande du Japon et du Brésil d'intégrer le cercle des membres permanents ?