C’est à vous, tout d’abord, cher Serge Dassault, que s’adressent mes remerciements. Vous avez, mon cher doyen, le courage et l’originalité de vos convictions. Ces qualités – rares – sont le signe de votre créativité toujours alerte. Elles servent la réussite de vos entreprises au service de notre pays. (Murmures sur les travées du groupe socialiste et du groupe CRC.) Merci, monsieur le doyen, de votre présidence inaugurale de cette session.
Merci, chers collègues du groupe de l’UMP, pour le soutien initial que vous m’avez apporté. Nous étions trois – avec nos parcours – à solliciter l’immense honneur d’avoir à faire passer dans la réalité les convictions qui sont les nôtres, pour notre assemblée et pour notre pays. Les conditions dans lesquelles s’est exercé notre choix honorent notre groupe et notre Sénat.
Merci à tous ceux d’entre vous qui viennent de me témoigner leur confiance et de contribuer ainsi à dessiner les contours de la nouvelle majorité sénatoriale, et même au-delà. Cela me crée des devoirs.
Merci à nos collègues de l’opposition pour l’attitude républicaine qu’ils ont eue tout au long de cette période d’élection. Croyez bien aussi que j’ai compris votre attente. Je voudrais en particulier saluer Jean-Pierre Bel, avec lequel je me suis trouvé en concurrence au cours de cette élection.
Je suis un homme de rassemblement.