M. Jean-Claude Lenoir, président de la commission des affaires économiques. J’ai eu l’occasion, durant ma vie professionnelle – c’était en administration centrale –, de participer à l’élaboration de plusieurs rapports. Quand on nous annonçait qu’un rapport devait être préparé, nous attendions patiemment que le chef de bureau soit muté ; nous faisions le mort, en somme, et en général, plus rien ne se passait !