Nous ne savons pas ce que sera le secteur dans vingt ans, donc laissons la porte ouverte. Nous ne connaissons pas le prix de gros, qui s’écroule aujourd’hui en Europe en raison de la surproduction, ni les besoins de financement des technologies futures.
L’amendement n° 384 est de bon sens. Je m’y rallie et retire donc l'amendement n° 747, monsieur le président.