M. Christian Eckert, secrétaire d'État. Néanmoins, je souligne que l’investissement public en France s’élève à 3, 2 % du PIB, alors qu’en l’Allemagne, un pays souvent cité en exemple, il représente 1, 6 % du PIB, soit exactement la moitié. Dans ce contexte, il y a peu de risques que cette baisse des concours de l’État remette en cause la croissance française.