Vous nous dites que 3,6 % des assurés, sans être en rupture, ont des difficultés à justifier leurs droits, ce qui peut créer des problèmes d'accès aux soins. L'association Vingt-quatre heures vitales nous explique que ce problème est de plus en plus courant : des assurés entre deux systèmes, des étudiants ayant passé six mois à l'étranger se voient rejetés. Comptez-vous mettre en place un médiateur ou un « SOS » accès aux soins ?