Sans étude d'impact sur le prélèvement, je peux prévoir un coût différent du recueil des autorisations de prélèvement selon qu'il se fera sous forme dématérialisée ou par courrier. Aujourd'hui, 17 millions de personnes ont un compte sur notre site, et ils sont 1 million de plus par an : nous approcherons bientôt de la moitié de nos 42 millions d'assurés. À l'inverse, le non-recouvrement au bout de cinq ans donne lieu à un abandon de créance qui coûte 40 millions d'euros par an. Il est évident que le coût de fonctionnement du prélèvement sera inférieur à cette somme.
Je répondrai par écrit à la question sur la tuberculose et la drépanocytose.