Je partage l'avis de mon collègue Rémy Pointereau en ce qui concerne les agences de l'eau.
L'appréhension de la biodiversité par les élus locaux a beaucoup évolué : c'est devenu un objet concret, qui fait l'objet de politiques publiques, et je m'en félicite. Je déplore cependant l'absence de lien entre les actions menées localement et les structures nationales censées coordonner ces initiatives. On constate une forte volonté de chacun de jouer un rôle dans la préservation de la biodiversité : nous avons besoin de relais pour populariser les actions menées.
Il est très important que nous disposions d'un état des lieux du patrimoine naturel.
Vous avez souligné que l'État s'engage de plus en plus, via la SNB, à soutenir des projets innovants, mais ce n'est pas encore assez : que préconisez-vous ?