… et je ne suis pas le seul. Pour gérer un salon de coiffure, il me semble qu’il vaut tout de même mieux savoir coiffer !
Je comprends l’observation de Mme la corapporteur et l’orientation retenue par la commission spéciale. Avouez, monsieur le ministre, qu’un gestionnaire d’auto-école n’ayant à aucun moment de relations avec la pratique et n’ayant pas le permis de conduire qu’il est censé permettre à ses clients d’obtenir serait un peu comme un boulanger qui ne mangerait pas son pain.