Cet amendement est identique à celui qui vient d’être défendu par mon collègue Michel Raison.
Environ 13 millions de PEL sont ouverts, mais ils servent de moins en moins à financer l’achat d’un logement, hors de la portée d’un nombre croissant de nos compatriotes. De plus, les taux d’emprunt du marché sont plus intéressants que ceux qui sont associés aux PEL. L’adoption de cet amendement permettrait de relancer la filière de l’ameublement, surtout le secteur de la pose des meubles et des cuisines. Elle n’aurait en outre aucune incidence budgétaire. J’ajoute que des dispositions de ce type prises en 1980 et en 1996 avaient permis de relancer le marché.