La réforme que nous sommes en train d’élaborer vise à ce que les sénateurs soient davantage présents. Il s’agit ici de prévoir qu’un sénateur ne puisse être membre de plusieurs instances parlementaires internationales. Celles-ci sont en effet nombreuses, entre l’Assemblée parlementaire de la francophonie, le Conseil de l’Europe, l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, l’OTAN, etc. Si l’on veut que les sénateurs participent aux travaux de leur assemblée, il convient de limiter leur présence au sein de ces organismes.
À mes yeux, cet amendement s’inscrit parfaitement dans l’esprit de la réforme que nous essayons de mettre en place aujourd'hui.