… là où elles ne bénéficiaient jusqu’à présent qu’à 18 % d’entre eux.
Pourquoi certains collégiens, parce qu’ils ne connaissent pas les codes, parce que leurs familles ne sont pas informées, parce qu’ils n’ont pas, à leur arrivée en classe de sixième, des performances scolaires optimales n’auraient-ils pas la possibilité de s’élever par la pratique du latin et du grec ? C’est précisément ce qu’offre cette réforme du collège, qui a vocation aussi à moderniser nos enseignements.
L’utilisation du numérique constitue à cet égard un formidable potentiel, une formidable opportunité.