On peut l’espérer, mais, au train où vont les choses, on peut aussi éprouver quelques craintes.
Certains font remarquer que nous sommes à l’âge de l’électronique. Si l’âge de l’électronique, chers collègues, consiste à abandonner les principes de la République, je le laisse à d’autres ! Je préfère, quant à moi, m’en tenir à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.