M. Christian Cambon. Monsieur le ministre de l’intérieur, notre trouble naît d’interrogations, qu’en tant que parlementaire je considère légitimes. Il revient au Gouvernement de nous donner tous les détails qui nous permettront de voter ce texte avec le sentiment d’avoir fait notre travail, de vous permettre de lutter contre le terrorisme, qui se diffuse par des moyens qui nous échappent, mais aussi d’avoir fait en sorte de protéger nos libertés publiques.